Tous psys!2024-03-28T12:48:41ZPsy Benjamin Lubszynskihttp://touspsys.com/profile/BenjaminLubszynskihttp://storage.ning.com/topology/rest/1.0/file/get/2536145223?profile=RESIZE_48X48&width=48&height=48&crop=1%3A1http://touspsys.com/forum/topic/listForContributor?groupUrl=scolarite-education-des-enfants&user=08kawk70xsfbu&feed=yes&xn_auth=noSE DECOUVRIR SURDOUEE À L'AGE ADULTE (témoignage)tag:touspsys.com,2016-04-11:5483872:Topic:2945662016-04-11T16:16:34.981ZPsy Benjamin Lubszynskihttp://touspsys.com/profile/BenjaminLubszynski
<p>(Je ne sais à quel groupe affecter ce témoignage…)</p>
<p></p>
<p>En juillet 2015, je publiais sur ce site, dans le groupe "Scolarité, éducation des enfants", un témoignage dans lequel je racontais comment un hypnothérapeute m'avait conseillé de lire le livre de Jeanne Siaud-Facchin "Trop Intelligent pour être heureux ? L'adulte surdoué" et comment j'y avais reconnu ma fille, écartant d'emblée l'idée que je puisse moi-même être concernée par ce diagnostic.</p>
<p>Quand on a passé la…</p>
<p>(Je ne sais à quel groupe affecter ce témoignage…)</p>
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<p>En juillet 2015, je publiais sur ce site, dans le groupe "Scolarité, éducation des enfants", un témoignage dans lequel je racontais comment un hypnothérapeute m'avait conseillé de lire le livre de Jeanne Siaud-Facchin "Trop Intelligent pour être heureux ? L'adulte surdoué" et comment j'y avais reconnu ma fille, écartant d'emblée l'idée que je puisse moi-même être concernée par ce diagnostic.</p>
<p>Quand on a passé la majeure partie de sa vie à se sentir inexplicablement différente des autres et comme inhibée d'un point de vue intellectuel, il est difficile de croire qu'on est, en fait, dotée d'une sensibilité singulière et d'une grande intelligence.</p>
<p>Alors, oui : ma fille était surdouée mais certainement pas moi.</p>
<p>C'était sans compter sur mon inconscient qui, lui, avait très bien enregistré cette information qui dès lors ne me quitta plus : et si c'était vrai ? Et si mes problèmes d'enfance, regardés sous le prisme de cette intelligence particulière, prenaient sens ? Et si je n'avais pas su trouver de l'aide pour ma fille parce que, justement, ce qu'elle vivait m'était familier et ne me surprenait pas plus que cela?</p>
<p>La dualité prenait place:</p>
<p>tantôt je reconnaissais inexorablement en moi les caractéristiques limitantes citées par Jeanne Siaud-Facchin : </p>
<ul>
<li>difficultés et échecs scolaires à l'enfance</li>
<li>incompréhensions à répétition (ne pas comprendre et ne pas être compris)</li>
<li>réponses impossibles aux attentes démesurées de l'entourage</li>
<li>sentiment d'injustice</li>
<li>hypersensibilité et vexations multiples</li>
<li>émotions enfouies et sentiments cachés</li>
<li>tristesse diffuse</li>
<li>solitude profonde</li>
<li>empathie avec toutes les souffrances du monde</li>
<li>lucidité perturbante</li>
<li>intuitions inquiétantes</li>
<li>anxiété à tous âges</li>
</ul>
<p>tantôt, au contraire, je me disais que ma vie serait bien plus légère si j'acceptais l'idée que toutes ces limites tenaient au fait que jamais personne (ni moi-même) n'avait reconnu que je pouvais être une personne intelligente et sensible et que, s'il s'avérait que je l'étais, je pourrais peut-être donner un sens à ma vie, reprendre la main et décider de ce qui serait bon pour moi et, surtout, en finir avec le sentiment d'étrangeté qui m'habitait.</p>
<p>Ainsi, alors même que je continuais à dire que je n'y croyais pas, j'acquerrais la certitude que cette hypothèse, si elle se confirmait, m'apporterait une véritable libération.</p>
<p>Ma fille, de son côté, déjà diagnostiquée, m'invitait sans cesse à venir la rejoindre.</p>
<p>La balance finit par pencher vers cette ouverture et j'envisageai consciemment la possibilité de me soumettre à un test d'intelligence. Une alternative s'ouvrait à moi : passer le bilan approfondi WAIS IV chez un ou une psychologue spécialisé(e) ou, plus simplement, passer le test de l'association MENSA pour avoir une première réponse.</p>
<p>Je dois reconnaître que je n'eus pas le courage de passer le test WAIS IV. L'implication émotionnelle de ce bilan face à un psychologue me parut insurmontable, la déception en cas d'échec (annoncé par un tiers identifié), trop difficile à supporter vu l'enjeu que je lui conférais. J'allais donc commencer par passer le test de MENSA, sans en parler à qui que ce soit, bien sûr.</p>
<p>L'Association MENSA est un club international regroupant des personnes obtenant des scores parmi les 2% les plus élevés aux tests d'intelligence. Elle offre sur internet un pré-test accessible à tous qui donne une indication sur la capacité du candidat. J'obtins à ce pré-test le résultat : "Vous avez réussi un bon score; les tests surveillés sont à votre portée". Je m'inscrivis donc à ces tests définitifs.</p>
<p>Très différents du pré-test, les tests surveillés se passent en grand groupe, dans une ambiance assez scolaire et sous la pression d'un temps limité. Lorsque je les passai, ces tests comptaient 25 questions chacun et étaient au nombre de trois :</p>
<ol>
<li>un test de raisonnement verbal</li>
<li>un test de raisonnement numérique</li>
<li>un test de raisonnement abstrait</li>
</ol>
<p>Pour réussir il fallait obtenir le score suivant : moins de 2% d'erreur à l'un des tests et moins de 10% d'erreur aux deux autres.</p>
<p>Les résultats tardèrent plus de deux mois à m'arriver. Ils furent positifs. Je reçus une lettre m'informant que je pouvais adhérer à l'association MENSA. J'étais soulagée, j'allais pouvoir rencontrer d'autres personnes douées et commencer à comprendre comment aborder la vie avec ce que j'appelais jusqu'alors "mon handicap".</p>
<p>Pour le remercier, je retournai voir l'hypnothérapeute qui m'avait orientée. Il me donna ce conseil : "maintenant, osez être vous-même".</p>
<p>Je suis heureuse d'avoir rejoint ma fille et de partager avec elle de longues conversations sur ce que notre vie aurait dû être, sur ce qu'elle est et sur ce qu'elle sera à la lumière de cette information. Ni elle ni moi ne nous sentons spécialement fières de nous savoir soudain plus intelligentes que prévu. De grandes inquiétudes nous assaillent : Comment se réconcilier avec soi-même? Comment communiquer clairement et s'entendre avec les autres sans renoncer à sa différence ni provoquer en eux de la méfiance? Comment exprimer ses sentiments sans être excessive? Comment maîtriser ses émotions sans nuire à sa propre créativité ? Comment se faire aider? Des questions existentielles se posent : pourquoi moi? Qui suis-je vraiment? Quelle est ma vraie place dans ce monde? Comment être douée et heureuse?</p>
<p>Mais, globalement, ma fille et moi nous sentons enfin en accord avec nous-mêmes et cela change positivement notre regard sur nous et sur le monde.</p>
<p>Si vous me lisez, c'est peut-être parce que vous vous interrogez sur votre capacité à faire partie de ces 2% de personnes qui ont une intelligence particulière, un potentiel intellectuel et émotionnel (les deux vont ensemble) au-delà de la norme et que vous vous demandez si devez ou non passer les tests ou un bilan pour en être certain(e).</p>
<p>Je vous conseillerais de le faire après avoir lu des livres sur les adultes surdoués (des auteures Jeanne Siaud-Facchin, Monique de Kermanec, Cécile Bost, Arielle Adda, etc.). A la lecture de ces livres, vous vous reconnaîtrez et acquerrez alors la certitude profonde que vous faites partie des personnes douées. A partir de là : ne craignez plus rien, faîtes-vous confiance et vous réussirez les tests.</p>
<p>J'espère que ce témoignage vous sera utile. L'association Mensa ne regroupe qu'un nombre limité de personnes douées. Parmi ceux qui n'y sont pas inscrits, on sait que beaucoup d'adultes sont informés de leur douance et la vivent bien, mais on sait aussi que beaucoup d'autres l'ignorent, souffrent et passent à côté de leur vie. Je souhaiterais inviter ces derniers à prendre conscience de leur don et à tracer dès lors leur propre route.</p>
<p>A ceux-là, je livre ce message d'espoir que signe Arielle Adda (psychologue):</p>
<p>"Les personnes douées sont une passerelle vers tout ce qui dépasse l'homme. Plus on est doué, plus l'image de la perfection apparaît avec netteté. Le bonheur de contempler la beauté est plus intense, la déception de ne pouvoir l'atteindre plus cruelle. Les personnes douées sont excessives, c'est une caractéristique exigeante qui ne laisse personne en repos mais, quand elle aboutit, elle donne un chef-d'œuvre sans prix".</p> Témoignage sur la précocité intellectuelle, les surdoués...tag:touspsys.com,2015-07-18:5483872:Topic:2380832015-07-18T18:44:59.369ZPsy Benjamin Lubszynskihttp://touspsys.com/profile/BenjaminLubszynski
<p><br></br> C'est un maître praticien en hypnose qui m'a dit que j'avais été une enfant précoce. J'ai eu beaucoup de mal à le croire car mon enfance avait été très perturbée et ma scolarité chaotique. Dyslexique, manquant de confiance en moi, je m'étais toujours sentie intellectuellement attardée par rapport aux enfants de mon âge et en total décalage avec ce que les adultes attendaient de moi. Et puis, plus personne n'était là pour me dire ce que j'avais été ou n'avais pas été dans ma prime…</p>
<p><br/> C'est un maître praticien en hypnose qui m'a dit que j'avais été une enfant précoce. J'ai eu beaucoup de mal à le croire car mon enfance avait été très perturbée et ma scolarité chaotique. Dyslexique, manquant de confiance en moi, je m'étais toujours sentie intellectuellement attardée par rapport aux enfants de mon âge et en total décalage avec ce que les adultes attendaient de moi. Et puis, plus personne n'était là pour me dire ce que j'avais été ou n'avais pas été dans ma prime enfance.<br/> <br/> Cependant, alors que cet hypnothérapeute énumérait les particularités de ces enfants qu'il appelait "surdoués", il brossait le portrait de ma fille comme s'il la connaissait.</p>
<ul>
<li> Son intelligence intuitive et fulgurante</li>
<li> Son langage cultivé dès le plus jeune âge</li>
<li> Ses mille questions et interrogations sur tous les sujets</li>
<li> Son humour décapant</li>
<li>Sa mémoire remarquable</li>
<li>Sa sensibilité exacerbée</li>
<li>Ses peurs irraisonnées</li>
<li>Son manque de confiance en elle-même</li>
<li> Ses jugements sur autrui sans indulgence</li>
<li> Son goût pour la compagnie des adultes</li>
<li> Sa réussite dans les petites classes et ses échecs scolaires au lycée</li>
<li> Sa vision ample des choses de la vie</li>
</ul>
<p>J'étais sidérée. Tout y était ou presque. Je me souvenais que son instituteur m'avait dit " votre fille est géniale, vous allez avoir du mal avec elle". Et oui, j'avais eu du mal mais c'était elle qui souffrait ! Ce qui me peinait le plus était de la sentir malheureuse, en proie à des attaques de panique à l'adolescence, sujette à des crises de peur que je ne comprenais pas. <br/> <br/> Je l'avais emmenée chez une psychologue qui n'avait pas su diagnostiquer sa précocité et dont ma fille, si intelligente, perçait à jour les intentions et jugeait sans la moindre indulgence : "elle est nulle, elle veut me faire dire que papa m'a fait du mal et elle veut que je m'en plaigne. Elle ne sert à rien !". <br/> Après cette expérience malheureuse nous avions donc laissé de côté les thérapies. Mais j'aurais dû insister jusqu'à trouver un professionnel qui sache diagnostiquer sa précocité. Car alors j'aurais pu l'aider et son école aussi.<br/> Ce n'est qu'après deux dépressions et une longue analyse chez un psychiatre que ma fille a enfin trouvé un équilibre de vie qui lui permette de profiter de ses formidables capacités. Et quand je lui ai dit que je la croyais surdouée et que cela a été confirmé par un bilan chez un psychologue, la lumière s'est faite sur sa vie passée et tout est devenu plus simple pour elle.<br/> <br/> S'il vous semble qu'il y a quelque chose qui "cloche" chez votre enfant, s'il présente les mêmes caractéristiques que ma fille et/ou d'autres encore que vous pourrez trouver dans l'article d'Eva Maréchal sur les enfants précoces sur ce site internet (<a href="http://www.touspsys.com/profiles/blogs/qi-precocite-intellectuelle-surdoue">http://www.touspsys.com/profiles/blogs/qi-precocite-intellectuelle-surdoue</a>) et dans le livre de Jeanne Siaud-Facchin "l'enfant surdoué" (Edition Odile Jacob), n'attendez pas, consultez un psychologue spécialisé (niveau universitaire Master II, connaissance du test de WISC-IV et tests complémentaires) et faites pratiquer un bilan d'efficience intellectuelle à votre enfant. Le psychologue vous remettra le compte-rendu du bilan pratiqué avec des résultats chiffrés et une analyse de ces résultats dont vous transmettrez une copie à l'école de votre enfant.<br/> <br/> Le chiffre du QI en soi n’est pas important. Ce qui est important c’est de voir si votre enfant a réellement des problèmes, et de quels types, pour l’aider. Et ses problèmes peuvent être simplement d'avoir un haut potentiel qui le met en décalage par rapport aux autres enfants, ou un haut potentiel associé à des handicaps tels dyslexie ou dysphasie ou autres.<br/> Le bilan vous aidera à anticiper les difficultés de votre enfant et à l'accompagner. Il peut être pratiqué utilement à partir de 6 ans. <br/> <br/> J'espère que ce témoignage vous sera utile.</p> Je me sens en décalage par rapport aux autrestag:touspsys.com,2015-05-08:5483872:Topic:2356012015-05-08T13:44:17.839ZPsy Benjamin Lubszynskihttp://touspsys.com/profile/BenjaminLubszynski
Alors voila j'ai un/des (petit(s) problem(s)),premièrement je me sens en décalage par rapport aux autres, depuis la 6ème (un petit peu avant même moitiée de primaire) (même si je pouvais faire avec et abstraction de ce fait) , pas même centre d'intérêt,je n'arrête pas de me poser des questions sur tout ce qui m'entoure et (sur moi même d'ailleur) ce qui peut exister ou non en gros je pense trop sans pouvoir m'arrêter (même si quelque fois en étant concentré je ne pense (plus trop). Je remet…
Alors voila j'ai un/des (petit(s) problem(s)),premièrement je me sens en décalage par rapport aux autres, depuis la 6ème (un petit peu avant même moitiée de primaire) (même si je pouvais faire avec et abstraction de ce fait) , pas même centre d'intérêt,je n'arrête pas de me poser des questions sur tout ce qui m'entoure et (sur moi même d'ailleur) ce qui peut exister ou non en gros je pense trop sans pouvoir m'arrêter (même si quelque fois en étant concentré je ne pense (plus trop). Je remet tout en cause même les choses au quel je pense (bizarre).. Les gens (camarades de classe et un peu de ma famille) disent que je suis froide et méchante, que je n'est pas de sentiments ni de coeur mais la vérité c'est que j'ai appris à être comme ça pour ne pas montrer mes sentiments (que je pense comme faiblesses même si je ne devrai peut être pas) et surtout pour me protéger. Je n'est pas de quoi me plaindre j'ai une vie stable et tranquil tout va bien (j'ai l'impression d'absorber les expériences des autres quels soit bonne ou mauvais et donc l'impression d'avoir vécu énormément de choses alors que ce n'est pas le cas)je suis sociable, ouverte, sympatique et tout ce qui va avec mais j'ai surtout un esprit critique + le fait que je remette tout en questions ça aide pas vraiment pour ainsi dire. Le problem c'est surtout le fait qu'à l'école je ne me sens pas à ma place, je m'ennui vraiment (pas parce que je ne comprend pas, car je comprend mais parce que cela ne m'intéresse pas), de ce fait je fait le minimum et commence à rêvasser ou à lire un bouquin(mais chut c'est un secret tout le monde doit penser que je suis normal et que je ne me pose pas des questions qui ne sont pas de mon àge et cela fonctionne à merveille comme quand ma famille parle de chose pour les grands discussions (profonde ça n'arrive pas tout les jours vraiment pas) on me met à l'écart involontairement comme je suis la petite dernière, mais je me rend compte que je me suis déjà posé cette question il y à longtemps même si je n'est que 16ans) que je prend avec moi au cas ou on ne sait jamais (ayant une imagination plutôt développé) cela ne ne dérange pas. Cela à vraiment commencé à partir de fin de 5ème.Mes professeurs disent que je reste sur mes acquis et que je prend le travail trop à la légère et que si je continue comme cela je ne vais pas tenir longtemps parce que le rythme va changer ect ect...mais je n'est pas l'impression (même si j'ai pratiquement décroché volontairement à partir de la 4ème). J'en fais un minimum pour qu'on me laisse tranquil mais cela m'insupporte je ne peux plus faire semblent et cela me fatigue énormément (je sèche les cours)et même en sèchent je comprend en tenant compte que je suis en professionnel car le fait d'apprendre par coeur ne m'intéresse pas vraiment j'aime et surtout je veux savoir le pourquoi du comment (même si je n'est pas choisi cette voie celle la ou une autre à quoi bon vue que je sais que je ne vais pas m'y sentir bien (à moins que je ne me trompe)).Alors voila une partie de ce qui se passe dans ma tête (hey oui cela n'est qu'une partie :-) ).<br />
Merci à ceux qui m'auront lu et de leur réponse et désolé pour les fautes.<br />
<br />
Ps:Ma question est de savoir ce que vous pensez de ce que vous venez de lire. Angoisse de mon filstag:touspsys.com,2014-07-23:5483872:Topic:2174952014-07-23T22:32:06.157ZPsy Benjamin Lubszynskihttp://touspsys.com/profile/BenjaminLubszynski
J ai tout essayé ,notre fils est convaincu d être "LE nul le RATE"<br />
A tel point qu il est en difficulté dans ses apprentissages<br />
Par exemple:<br />
Il ne sait pas bien nager mais adore pêcher<br />
Alors je lui fais prendre des cours et et au bout de quelques séances il abandonne<br />
Il va même préférer ne plus pêcher plutôt qu apprendre à nager<br />
Et tout est comme ça c'est épuisant et demande une telle énergie je ne sais plus vraiment comment<br />
L aider
J ai tout essayé ,notre fils est convaincu d être "LE nul le RATE"<br />
A tel point qu il est en difficulté dans ses apprentissages<br />
Par exemple:<br />
Il ne sait pas bien nager mais adore pêcher<br />
Alors je lui fais prendre des cours et et au bout de quelques séances il abandonne<br />
Il va même préférer ne plus pêcher plutôt qu apprendre à nager<br />
Et tout est comme ça c'est épuisant et demande une telle énergie je ne sais plus vraiment comment<br />
L aider