Harcèlement Morale

Bonjour ou Bonsoir à tous, 

J'aimerais savoir si je suis harcelé moralement ou ai été harcelé moralement par ma sœur, je vais essayer de raconter au mieux l'histoire.

- Un jour quand nous étions encore enfant (Environ 10/11 ans pour moi et 8/9 ans pour ma sœur, car nous avons deux ans d'écart), nos parents étaient aux courses, ma sœur en profita pour me courser dans l'appart, elle détenais un couteau pour manger (Couteau pointu). Je n'ai jamais compris pourquoi elle à fais ça. Mais jusqu'au retour de mes parents j'étais enfermé dans les toilettes, pour évité qu'elle ne me fasse du mal avec ce couteau, je ne connaissais pas ses réelles intention avec cette instrument coupant. Mes parents n'ont donc rien vu.

- Vers l'age de 14 ans pour moi et 12 ans pour ma sœur (Je ne suis pas sûre pour l'age mais c'étais dans ces environs là) ma sœur m'a mis une gifle, on étais dans le couloir et mes parents dans le salon, donc encore une fois ils n'ont rien vu. Je ne sais plus pour quel raison elle m'a mis cette gifle. Mais j'aimerais savoir si une petite sœur de deux ans de moins que nous , à le droit de nous gifler ?

- Vers l'age de 18 ans pour moi et 16 ans pour ma sœur, j'ai eu des menaces (notamment de mort) par écrit (Conversation que j'ai eu avec ma sœur) et menaces orales, ou elle me disais qu'elle voulais m'attacher sur un arbre dans un parc public, me déshabiller entièrement et me donner des médicaments qui donne la "Coulante" (Chiasse : Désolé pour le mot) tout sa pour un vol de mec (Elle ne sortais pas avec mais elle voulais sortir avec). Personnellement, quelques temps auparavant, quand elle est sorti avec le mec que je voulais, je ne l'ai pas menacée pour autant.

[Encore vers l'age de 18 ans pour moi et 16 ans pour ma sœur, elle me volais des vêtements, parce que je travaillais et que je gagnais de l'argent, et que je pouvais m'en acheter. Ce qui m'énervais le plus dans l'histoire du vol, c'est qu'elle ne prenais pas soin de mes affaires, par exemple elle m'a troué une veste au niveau des manches, elle m'a déchiré un jean au niveau des genoux, elle a fais un trou sur un t-shirt à moi. Et pas que, elle laissais traîner mes affaires au sol de sa chambre également. Suite à ces vols répétés je voulais une serrure propre à ma porte que mon père me refusais. Donc je mettais mes affaires (la plupart) dans une valise que je fermais avec un cadenas au niveau des fermetures éclair, mais sa ne suffisais pas, elle savais ouvrir la valise par la fermeture éclair, donc elle continua à me voler, jusqu’à ce qu'elle touche son propre argent. (Elle à arrêté quand elle touchais de l'argent).] Bon certes ce passage n'a rien a voir avec du harcèlement morale mais je préfère en parler.

- Vers la même période ou j'avais 18 ans et elle 16 ans, je crois que c'est vers là qu'elle à commencé a me rabaisser quand elle le pouvais, à être méchante, et à me faire peur. Quand on se disputais, elle voulais carrément se battre avec moi pour montrer qu'elle est la chef, qu'elle me gagnerais sans problème, pour montrer que je suis une minable qui sais pas se battre. Et quand je refusais de me battre avec elle, il lui arrivais de me dire que de toute façon je ne savais pas me battre en laissant supposer qu'elle gagnerais forcément si on venais à se battre. Elle me traitais souvent de "Gamine" parce que je pleurais souvent quand ma sœur me criais dessus, j'ai l'impression que c'est elle la grande sœur et que je suis la petite sœur, c'est très dévalorisant pour moi. J'ai surtout l'impression qu'elle veux avoir le pouvoir sur moi. Depuis cet age la je subis sa de temps en temps de sa part, mais sur du long terme et donc plusieurs années. Elle me reproche beaucoup d’être renfermer sur moi même, toujours dans ma chambre, à l'écart, elle vas même jusqu'à dire que je sers à rien dans la famille. Parfois durant nos engueulades elle vas jusqu'à dire : "Heureusement que tu n'es pas ma fille, sinon je t'aurais tué à la naissance", et dans le même style de phrase avec juste la fin qui change elle m'a dis aussi : "Heureusement que tu n'es pas ma fille, sinon tu te serais reçu des gifles".

- Actuellement, donc j'ai 21 ans et ma sœur 19 ans, j'essaye d'ignorer au maximum ma sœur. Des fois devant mes parents, elle me parle sur un ton "bizarre" le genre de ton qui énerve quelqu'un, ce qui m'agace, et comme je suis en quelque sorte au bout, à cause d'elle, je m'énerve facilement, donc mes parents me reprennent pour me dire : "Pourquoi tu hausse la voix ? Elle t'a rien fais.", à cause de l'injustice qui règne dans la famille, il m'arrive de me comparer à ma sœur pour tel ou tel chose, et mon père me dis donc : "Te compare pas à ta sœur, c'est pas comparable". Ensuite, lorsque je parle de prendre mon indépendance, sois avoir mon appartement, sois me faire héberger chez un ami (Parce que je ne peux plus supporter l'ambiance dans la famille) donc pour l'appartement mon père me dis que je n'y arriverais jamais, que je n'ai pas assez de moyens pour assumer, limite c'est vouer a l'échec (mais peut être qu'il a raison aussi, en tant que père il connais la difficulté de la vie). Donc j'ai abandonnée pour l'instant l'idée de l'appartement. Un jour j'ai dis a mon père que j'aimerais faire appel a une médiatrice (l'ambiance étant insoutenable pour ma part) je ne voyais que cette solution pour qu'on puisse tous mettre sur table ce qui vas pas et arranger les choses, et c'est la que mon père me dis que si la médiatrice est là et qu'on sois tous réunis dans la même pièce (mon père, ma mère, ma sœur et moi) je vais prendre tout dans la figure.

J'aimerais aussi une réponse par rapport au loyer que me demande mon père, sachant qu'il ne paye pas de loyer dans la maison (donc il ne paye pas l'eau ni l’électricité), quand je gagnais 1400 euros (environ) il me demandais 350 euros, quand je gagnais 700 euros (environ) il voulais de base 200 euros, au final il m'a demandé 150 euros et à coté de cette somme il voulais 30 euros d'essences (pour pouvoir nous amener au travail moi et ma sœur), mon père m’emmène au travail en voiture car j'ai la phobie de la foule, donc j'ai aussi peur dans les transports en communs (crises d'angoisses, visage pâle, accélération du rythme cardiaque, suées, etc ...) depuis environ 1 ans ou même 1 ans et demi (probablement à cause du passé, d'après ma psychiatre). Et ce mois ci j'ai gagner 1100 euros environ et il me demande 250 euros. Quand j'essaye de lui dire que je veux qu'il ne calcule que ma part dans le loyer que je dois, il me dis qu'on est une famille, que l'argent que je donne et que ma sœur donne c'est un ensemble. Et qu'il ne définit pas ce loyer forcément que pour ma part, qu'il le définis plutôt de sorte à ce que sa aide tout le monde. Et donc quand je lui répète que je veux payer uniquement ma part, il me traite alors d’égoïste. Personnellement sa me dérangerais pas de les aider dans le besoin, mais quand j'essaye de parlé de mon passé à mon père ou à ma mère pour qu'ils comprennent cette ignorance que j'ai pour ma sœur, et cette haine également, ils me coupent la parole, mon père me dis que c'est le passé, qu'il faut que je tire un trait. Oui je suis d'accord d'un coté qu'on dois tirer un trait sur le passé, mais quand celui ci fais encore parti du présent c'est pas pareil (j'ai l'impression qu'ils n'ont pas envie de voir à quel point je vais mal, ni même de comprendre), quant à ma mère, quand j'essaye de lui en parler elle me dis que si c'est pour lui parler de cela, c'est pas la peine. Donc c'est en parti à cause de cela que je n'ai pas envie de les aider financièrement, je veux bien payer ma part, je le conçois, mais sa s'arrête la, je ne veux pas donner plus que ce que je ne dois pour ma propre part. Il me reproche de donner difficilement l'argent qu'il demande par rapport a ma sœur. Il m'a déjà dis que ma sœur donnais plus facilement, qu'il a pas besoin d'attendre avec elle, et surtout que chez elle, donner de l'argent sa viens naturellement pour aider la famille. Il est vrai que ma sœur donne plus facilement, elle est plus à l'aise dans la maison, et mes parents prennent souvent son parti, à l'inverse de moi. Elle se sens donc plus à sa place dans la maison, quant à moi je n'ai pas vraiment l'impression d'avoir ma place.