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Au début de notre relation, il paraissait être l’homme idéal. Tout collait, ses attentions correspondaient exactement à mes attentes, ses envies étaient les miennes.

Tout comme dans un rêve, notre relation débute merveilleusement bien.

Seuls quelques petits signes avant-coureurs auraient du me mettre en garde.

Mais je me sentais amoureuse et rien ne pouvait faire basculer mon optimisme.

 

C’est pendant la période où je suis tombée enceinte que les choses se sont compliquées et envenimées.

Au début les critiques semblaient être de l’humour, en quelque sorte des petits sarcasmes mal placés.

A ce moment, je n’y prends pas plus attention.

Mais au fil des mois de grossesse, le ton monte crescendo.

Les insultes fusent, le ton de voix hausse plus qu’il ne faut.

Tout est sujet à la critique, mes repas, mon travail jusqu’à me sentir vraiment dévalorisée, humiliée et me remettais en question toutes mes compétences.

Et c’est vraiment dans la répétition de ce type de parole que je finis par courber l’échine et arriver au stade du renoncement.

De toute manière l’affronter de face m’était impossible car la peur avait pris place dans mon cœur.

Son regard à double personnalité m’effrayait au plus haut point et me déstabilisait.

Aucun dialogue n’était possible avec lui. Toute conversation était un vrai calvaire pour moi car, il ne me lâchait pas tant que son raisonnement ne devenait pas le mien.

Ca pouvait durer des heures et des jours,...

 

J’étais devenue son souffre douleur, sa victime, sa chose.

 

Je décide de partir pour la première fois en juillet 2007, le petit était né et avait 6 mois (deux tentatives de départ en deux jours, c’est vous dire l’emprise qu’il exerçait sur moi).

Mon départ fut causé par un différent sur mon nouveau travail que je souhaitais à tout prix et que lui, considérait comme rabaissant (Lettrage publicitaire, branche similaire à mon diplôme).

Il me menace de mort si je prends ce job !

 

Le deuxième jour je pars me réfugier avec le petit chez ma mère et ensuite, je profite de la maison de mon frère parti en vacances.

Après une semaine seulement d’éloignement (mais de nombreux contacts téléphoniques), je décide de réintégrer le foyer familial.

Il me dit qu’il a changé, qu’il ne m’insultera plus, qu’il a arrêté de fumer son cannabis, etc,… et moi, j’y crois.

 

Sa bonne volonté ne durera que 3 mois à peine…

 

Maintenant que je le quitte à nouveau (3 ans après), il me harcèle quotidiennement.

Le jour où il a appris que j’ai une autre personne dans ma vie sentimentale il en est passé aux violences physiques.

 

J’ai extrêmement peur de lui car je ne connais pas ses limites.

Pour citer un exemple, il y a eu des menaces sous entendues de viol. ,

En effet, il m’a dit : « tu m’excites toujours, t’as un beau cul, … » Je l’avise de ne surtout pas me toucher et à cela, il me répond : « faire un scénario viol pourrait être amusant, à l’époque tu aurais apprécié,… »

 

D’autres fois, il me menace de me faire vivre un « vrai calvaire », « une vie de merde »,… et ce, jusqu’à la fin de mes jours.

 « Une vie normale, t’en auras jamais plus, je serais toujours là pour t’emmerder »

«  Je vais bien éduquer mon fils : des maîtresses j’en aurai plein, je vais lui montrer à quoi servent les femmes »

 

Pourriez-vous me dire comment dois-je m’y prendre pour en finir avec ce cycle infernal de destruction ?

 

Sachez qu’en plus il commence à monter le petit de 3 ans et demi contre moi et de le manipuler à ma place.

Puisque je fais défaut, il faut qu’il exerce son emprise sur autrui en l’occurrence le petit.

 

Il y a actuellement, menaces de mort ! 

Le jeu devient dangereux, je vous conjure, AIDEZ-MOI !

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Réponses à cette discussion

je vais faire tout mon possible pour vous aidez...Je comprends:vous avez eu la sensation d'être piégée et épiée en permanence,vous vous méfiez de tout.j'imagine que vous êtes très calme mais il arrivait à vous mettre hors de vous.On perd les édales,le contrôl de nos émotions..Vous vous sentez prise à la gorge,ensevelie sous un flot de décisions injuste,vous être attenite dans votr dignité:j'évoque " la manipulation" dans une premeier temps.
Les objectifs du manipulateur sont de nous faire douter et culpabiliser en permanence,de nous faire perdre toute lucidité dans l'analyse des situations,de supprimer nos droits afin de nous "chosifier",de nous mettre en quarantaine pour nous priver d'alliés et rompre tout reflexe de solitude,de nous montrer qu'il est partout dans notre vie.Il veut nous prouver que c'est lui le patron,le droit divin en quelque sorte,tout passe par lui rien ne lui échappe et certainement pas nous.Le pire est de nous pouuser a faire la faute il pourra ainsi nous faire des reproches..
Vous avez une sensation de peur,un état de qui-vive,voir de terreur devant lui.et même en dehors;vous êtes anxieuse,voire angoissée,avec des manifestations physique(tremblements),vous vous ressassez constamment les humiliations,vous avez un sentiment de culpabilité avec une tendance à adopter une position défensive,vous somatisez:cela se traduit par une sensation d'épuisement et une désorganisation psychosomatique,progressive de gravité croissante;vous êtes victime d'attaques d'angoisse spontannées dès que vous faites une analogie avec un détail vécu.

J'ai étudié le dossier par coeur sur la manipulation mais ca va même loin votre histoire...
Vous êtes une très forte mère car déjà vous étiez au courant de la chose quand votre enfant avait 6 mois
Si vous dema,dez ce qu'il faut faire j'imagine que vous avez à subir encore sa personne car vous n'avez pas trouvez d'appartement ailleur ou vous n'avez pas de proches près de chez vous pouvant vous accueillir ou et c'est surtout le pire :on ne vous croit pas (dans différent cas:il a pu mettre vos ami contre vous) .
Je vous donne des conseils si vous êtes encore confronter à lui:
-Quand vous vous faites descendre en flammes:Si vous êtes victimes d'intimmidations ou de gifles cinglantess,essayez la technique de communications non violentes."j'ai l'impression que tu cherche systematiquement à démonter mes idées quelle sont tes raisons?"
-Il ne faut pas vous laisser envahir par la paranoia et l'émotion(si vous avez garder votre enfant vous êtes une femme très forte)
-le plus important est le recentrage:faites lui rappeler le vrai sujet de la discussion si vous commencez et qu'il devit sur autre chose et qu'il est même prêt a vous humilier sur votre vie privée devant public.
Je ne sais pas du tout si vous êtes mariée:appelez 08 Victimes:0884284637,ou bien j'en ai un autre:Allo parents Bébé:0800003456.Je suis sûr que vous vous donnerez les moyens.
Si vous n'avez pas de portable........ou le fixe ne marche plus.....
Ne stressez pas,reprenez la main sans nervosité à chaque fois qu'il essaiera de vous destbiliser.Les associations seront là pour vous donnez l'adresse du procureur de la république:et peut être avec chance que ca annulera le divorce.Ou portez plainte mais réécrivez ce que je vous ai dit munie de tout vos exemples. Un conseil:Il faut que ce soit préci et avec le moins de choses possible:2 pages...
Je souhaitais vous précisez que si vous envoyez une lettre au procureure peut être est il capable d'envoyer un courrier à votre adresse en proposant l'aide d'une assistante sociale ou autre.Vous avez du travail j'imagine alors accrochez vous a ca...il ne faut pas que vous le perdiez...Mais vous savez cles manipulateurs s'attaquent à des personnes morales intelligente et courageuse donc vous avez toutes les qualités essentielles pour réussir...
Je n'ai pas plus d'experience que ca je n'ai que 19ans exusez moi si je n'ai pas répondu à ce que vous souhaitiez entendre..,:-aller dans un foyer de femme.....
Si vraiment il en vient à être violent appelez les pompiers..
Pour votre bou de chou:une assistante sociale lui ferait du bien surement il y en a de proposée au CCAS ou CIAS(centre intercommunale d'action sociale):c'est gratuit! De même qu'il y en a dans toute les villes etje pense que vous pouvez vous confiez à eux pour explique votre situation:ils vous viendront en aide si vous êtes dans 1 foyer mais aussi pour vous proposez des aides d'argents.........................etc
Je vous souhaite du courage il en faut pour survivre subir mais ne laisser pas le père de votre enfant vous piétinner:ca s'appelle aussi de la discrimination;il ne vous mérite pas dans ce cas là
Notez article 225-1 code pénal:constitu une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques en raison de leur originesde leur sexe......etc
la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse considère comme des délits certains propos ou écrits:
-les injures racistes telle que l'expression "sale nègre
-la diffamation raciale telle que l'affirmation:"ces sales africains sont à l'origine de la délinquance dans ce pays
-la provocation à la haine,à la discrimination,ou à la viuolence raciale telle que de dire"on devrait se débarrasser de tout ces juifs"
Le code pénalprévoit l'aggravation des peines pour certains actes delictueux comme laviolence physique lorsque le mobil est raciste ou homophobe.
La loi du 3 février 2003 punit plus sévèrement une agression lorsqu'elle est raciste.
Il existe la HALDE(haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité):11-15 rue Saint Georges 75009 Paris. tel:0810005000(coût local à partir d'un poste fixe). J e ne connait pas tellement l'association mais elle est chargée de lutter contre toutes les discriminations..
Il est plus difficile de se contrôler et de garder son calme que de réagir par la violence donc dîtes vous que vous êtes courageuse.
Le fait de porter plainte contribue à la réparation de vos séquelles,et peut également anéantir le sentiment d'impunité des agresseurs Contre les discriminations raciales il existe aussi le 114 numéro gratuit ouvert de 9 a 19h...
Sinon les pompiers n'hésitez pas à faire entendre votre voix...

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