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Bonsoir,

Depuis plus d'un an je suis sous xéroquel 600 LP, et j'ai décidé d'arrêter ce traitement et tout suivi psychiatrique.

J'ai arrêter le déroxat 40mg et le lyxantia 40mg avec accord de mon psychiatre.

Pour ce qui est du sevrage du xéroquel, je vais le gérer moi-même sans avis médical.

J'en ai assez de tout ces traitements et de la psychiatrie, j'arrête tout suivi.

Par contre j'ai très peu d"info sur le xéroquel, si quelqu'un à réussi à se sevrer, j'aimerais avoir des conseil pour réussir à bien ce sevrage.

En vous remerciant.

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Réponses à cette discussion

Bonjour Sandrine et Nawak83 ! :)
Je souhaitais soulever un problème et je pense que grâce à ce fil de discussion, il nous sera possible, du moins je l'espère, d'obtenir une réponse précise ou non lol
Qu'est-ce qui fait qu'un psychiatre puisse faire une erreur de diagnostique, schizophrènie, paranoïa, bipolaire, psychose etc... ?
Est-ce que le doute peut persister si longtemps ?
Merci d'avance pour vos réponses^*

Bonjour, 

Deja , constat tres simpl, les psychiatres sont debordés ainsi que leurs services comme on peut le constater.... Lorsque que tu es hopitalisée ils viennent te voir 5 minutes dans ta chambre tous les jours oiur faire le point sur ton état et pouvoir evaluer si le  TTT te correspond ... 5 minutes ?!?!?! C'est vraiment peu, comment peut on en 5 minutes décider si tel ou tel médicaments peut t 'aider a t'en sortir alors pour remtre un Diagnostique en cause je te laisse meme pas imaginer .... Après il faut se dire qu'ils n'aiment pas se contredire pour la simple et bonne rasion que si l'un n'es pas d'accord et du'il remet tout en question , le patient risque de perdre confiance en leur jugement et de faire bloc aux TTT... Reconnaitre des fautes c'est dur surtout quand vous bousillez la vie des patients !

LA "bible" de certains psy c'est le DSM IV regarde sur le net tu trouveras et tu pourras voir que les symptomes se croisent et que certaines maladie ne sont pas très différentes dans les comportements des malades ce qui induit en erreur! la psy est une science inexacte !Il ne faut pas l'oublier....Je ne me fais pas l 'avocate du diable bien loin de là, j'ai juste essayer aussi de comprendre .... car quand cela nous arrive un grand sentiment d'injustice et de colère monte ....

Après que le psychiatres se trompent ect ok .... moi ce qui me tarabusque le plus a l'heure actuelle c'est comment se sevrer quand on a une vie active ? Surtout sans prendre de médicaments  , perso je me sens pas d'aller en institut mais etre enfermer chez soi c'est pas le pied non plus.... J'avou que je me pose des questions des fois sur mon avenir j'ai 25  ans et j'ai l'impression de faire du sur-place quant a mon avenir professionnel ! 

Je vais pas pouvoir rester 3 mois en maladie et comme mon travail necessite une relation client forte et constante  ! que faire?

Pour ma part, je voyais mon psychiatre tous les mois mais bien souvent il arrivait en retard et de ce fait les consultations étaient dans ces cas très rapides, ce qui est bien dommage !

Ensuite je voyais en parallèle une psychologue qui au début pensais que j'étais schizophrène pour ensuite poser ce diagnostique de bipolarité, mon psychiatre à suivi.

Etre suivi en psychiatrie est très spécial car les médecins vous posent un diagnostique, histoire de vous mettre dans une case, et à la suite de cela commencer un traitement médical "adapté" à votre pathologie.

Et vous, dans tout ce système défaillant, êtes complétement perdu, vous refusez dans un premier temps ce que le médecin vous dit "vous souffrez de trouble bipolaire" parce que dans une conversation vous avez dit que votre mère est bipolaire et de ce fait ce trouble étant "génétique" vous êtes forcément comme votre mère, et voilà on vous a trouvé une maladie mentale bien précise : bipolarité !?

Vous êtes tellement mal que vous finissez par plier, après tout le médecin est un professionnel des troubles mentaux et vous finissez par vous dire qu'il a raison.

Je remet nullement en cause les compétences de mon psychiatre et de ma psychologue, mais je ne suis plus d'accord avec eux, c'est de là que j'ai décidé d'arrêter tout suivi psychiatrique, psychologique et le traitement médical.

Evidemment, ce n'est pas une décision que j'aie prise à la légère, je ne me suis pas levée un beau matin en me disant "à partir d'aujourd'hui j'arrête tout". Non j'ai pris du temps, beaucoup de réflexions !

J'en ai informé l'infirmier en psychiatrie, qui me suivait aussi en parallèle, que j'avais commencé ce sevrage, il devait en parlé au psychiatre, me rappeler.... Aucune nouvelle !!

Ce sevrer soi-même est sûrement inconscient mais je pense avoir fait le bon choix, bien que ce soit difficile notamment à cause du fait de passer de très mauvaises nuits, je travaille à 35 kms de chez moi et il est vrai que ce n'est pas tous les jours facile d'assurer ses obligations professionnelles avec un manque de sommeil assez important.

slt tout le monde

c le pb avec les psys te collent une maladie et de bourre de cachetons

j'appelle pas ça soigné les gens !!

t'as raison Sandrine te laisse pas manger par eux t'arriveras a t"en sortir suis certain

t'as assez de force en toi pour réussir

biz

kelvin

Merci pour toutes ces précisions...
Les équipes pluridisciplinaires travaillent en équipe, de manière à réunir un maximum d'observations sur les patients, les doutes ne peuvent ainsi perdurer puisque les dossiers sont réetudiés en réunion de staff, en milieu hospitalier.
Il me semble aussi qu'il soit préferable d'être toujours suivie pendant la période de sevrage qui se fait progressivement, étalé dans le temps et en diminuant les doses journalières. Ainsi, s'il y a rechute, apparition de symptômes désagréables, il est encore temps de revoir la prescription et avoir un soutiens continu, c'est indispensable que l'on soit en activité ou non. Pourquoi ne pas envisager de changer de thérapeute qui vous consacrerait plus de temps et en qui vous auriez davantage confiance ?
Je souhaite de tout coeur que tout se passera bien pour vous, bon retablissement.

Effectivement je pourrais changer de thérapeute, mais cela implique de se réinvestir de nouveau, réapprendre à faire confiance.... Honnêtement je manque actuellement d'énergie pour tout recommencer.

Si un autre diagnostique est posé, je le vivrais difficilement, car cela signifierait que j'étais dans le faux durant tous ces mois de thérapie et de traitements. Je pense que cela serait destructeur pour moi.

Aujourd'hui je vais bien, je dors très mal c'est vrai, mais mon comportement est "normal".

Le sevrage je l'ai fais seule, et je pense l'avoir réussi, mis à part ce problème de sommeil, je ne ressent aucun autre désagréments, je suis stable émotionnellement.

Je vous remercie de vos messages de soutien !

Bien à vous,

Sandrine

Salut Kelvin,

Certaines pathologies nécessitent un traitement médical. Je n'encouragerai donc jamais une personne d'arrêter son traitement sans avis médical comme je l'ai fais.

Comme je l'ai écris, c'est une décision que j'aie prise après réflexions, je connaissais les risques quant à l'arrêt de ce traitement.

Je te remercie de ton soutien,

Prends soin de toi.

Bisous,

Sandrine



kelvin a dit :

slt tout le monde

c le pb avec les psys te collent une maladie et de bourre de cachetons

j'appelle pas ça soigné les gens !!

t'as raison Sandrine te laisse pas manger par eux t'arriveras a t"en sortir suis certain

t'as assez de force en toi pour réussir

biz

kelvin

JE comprends bien ton point de vue mais dans ce cas j 'aimerai que tu me réponde a cela: comment se fait il que je sois restée 4 années en institut et dans des services des plus grands professeurs ( a discuter) sans que l on comprennne que je ne sois pas schizo ? Ca a causé bcp de degats dans ma vie et celle de mon entourage... 

Une autre pour la route:pourquoi subit ton indeniablement des erreurs faites par des médecins ? PEnses tu que si on baissait leurs honoraires ils seraient plus humains et a l'écoute?

ps:je ne souhaite a personne de vivre ça mais seul les personnes travaillant en mileiux psy pensent comme toi ... 

Mallaury a dit :

Merci pour toutes ces précisions...
Les équipes pluridisciplinaires travaillent en équipe, de manière à réunir un maximum d'observations sur les patients, les doutes ne peuvent ainsi perdurer puisque les dossiers sont réetudiés en réunion de staff, en milieu hospitalier.
Il me semble aussi qu'il soit préferable d'être toujours suivie pendant la période de sevrage qui se fait progressivement, étalé dans le temps et en diminuant les doses journalières. Ainsi, s'il y a rechute, apparition de symptômes désagréables, il est encore temps de revoir la prescription et avoir un soutiens continu, c'est indispensable que l'on soit en activité ou non. Pourquoi ne pas envisager de changer de thérapeute qui vous consacrerait plus de temps et en qui vous auriez davantage confiance ?
Je souhaite de tout coeur que tout se passera bien pour vous, bon retablissement.
Bonjour Nawak83 ^_^
J'entends bien que tu as subit des consèquences d'un mauvais diagnostic toutes ces années, c'est une grande injustice et tu en veux au médecins.
Cela étant dit, je sens un reste d'amertume malgré que l'erreur ait été soulignée, n'est-ce pas une bonne nouvelle, finalement de découvrir que l'on ne souffre pas de schizophrènie ?

Cher Mallaury ,

Il est vrai que d'apprendre que je ne sois pas schizophrene fut une bonne nouvelle en soi , si on considère que la schizophrénie est plus grave que la bipolarité...Maintenant je ne te parle pas forcément de schizo catatonique ou hébéphrénique mais affective et pour moi la seule différence est le TTT! Après tu peux toujours essayer de voir le bon coté des chises mais le fait est la :a cause de leur incompéence je n'ai pu poursuivre mes études , j'ai perdu beaucoup de moi-meme,je n'en suis pas sortie indemne en soi. Il est vrai que je n'ai pas un cancer mais peut etre que le problème été a la base beaucoip moins grave , une simple dépression ou autre, et que je suis donc devenue comme cela aujourd hui  a cause des traitements recus , très lourd..

Mais tu as raison , MAllaurry , je devrais leur dire merci , un gtand merci meme , d avoir bousillé ma vie , d'avoir éteind mon esprit , déformé mon corps, avoir fait partir l'estime que j'avais de moi,d'etre restée 4 longues années enfermées avec des gens qui avaient vraiment un problème , d'avoir gaché mon entrée dans la vie adulte ...tu sais quoi ? tu as raison je vais leur écrire et peut etre meme leur envoyer des étrennes a noel pour tout le bonheur qui m'ont apporter ...mais surtout je vais leur dire merci: merci de s'etre trompés en disant que j'étais schizophrène...tu as raison 

Et encore,mon amertume je la garde pour moi puisque je consulte encore et que j'accepte de prendre ces medicaments ...malgrès mon manque de conviction a leur égards.

Mallaury a dit :

Bonjour Nawak83 ^_^
J'entends bien que tu as subit des consèquences d'un mauvais diagnostic toutes ces années, c'est une grande injustice et tu en veux au médecins.
Cela étant dit, je sens un reste d'amertume malgré que l'erreur ait été soulignée, n'est-ce pas une bonne nouvelle, finalement de découvrir que l'on ne souffre pas de schizophrènie ?
Nawak83,
Je ne supporte pas l'injustice ! Quand il y en a eu une, je m'efforce de comprendre ce qui a bien pu se passer...
Les symptômes psychotiques peuvent malheureusement être confondus avec ceux de la schizophrènie. Penses-tu être dans ce cas ?
Je suis ravie d'apprendre que tu es toujours accompagné, que tu as maintenant un TTT adapté et qui te convient.^^

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